Tribulations de geeks en mal d'amour

 Coucou les enfants, suite à mille ans de silence parce que c’est le temps qu’il m’a pris pour me rappeler que j’avais un blog, je vous écris un nouvel article parlant d’un endroit bien connu de chacun.

La friendzone.

Sachant que nous sommes sur un blog de geeks, il est normal que nous en parlons, sachant que les jeunes femmes posant dans Playboy sont rarement libres et qu’en plus que ceux qui me lisent (vous) sont, comme le titre de ce site le présuppose, en mal d’amour.

Commençons tout d’abord par expliciter la friendzone. La friendzone est cet endroit charmant où l’on est le meilleur ami, le super poto sympa et super amical qu’on aime d’amour mais pas tout à fait parce que j’avoue, toi t’as de l’acné alors que Bobby il a une voiture et il fume ce mec trop rebelle.

Bobby, rebelle de 17 ans, ayant une caisse pourrie et parlant mal à son papa. Oh oui Bobby sois mien.

 En général, la friendzone est le sac fourre tout dans laquelle une donzelle case ses prétendants avant de les manger pour son goûter, de briser leur cœur, ou d’en faire son chéri officiel, va savoir. Beaucoup de geeks charmants sont dans ce cas là. En effet, le geek, espèce faible par excellence a peu de caractéristiques attirant la femelle. Ayant souvent une musculature peu développée, une stature avachie par des heures de Age of Empire ou de matage d’hentaï de Final Fantasy (oui je vous vois, je sais tout), un teint blafard et cerné due à la nuit passée à tenter de finir le dernier donjon de Neverwinter Nights (j’attends ici les puristes), ceux-ci ne ressemblent vraisemblablement pas aux mâles Alpha que vous attendiez mesdames. Et pourtant qui sait ce que le microprocesseur cœur de ces jeunes gens pourrait cacher comme qualités ?

 Néanmoins certaines personnes du beau sexe pourraient me huer pour ces paroles fortement sexistes. Oui le mâle aussi a une friendzone. Il y met en général plus souvent Florence Foresti que Pamela dedans parce que pour Pamela c’est différent. C’est la sexzone mais revenons en au sujet principal.

 Que faire lorsque l’on se trouve dans la Friendzone ? Faut-il tuer le rival ? Faire un code triche pour truquer ses jets de dés « séduction » ? Ou passer par différentes plates formes dans un ordre très précis pour ne pas revenir toujours au point de départ ?

Moi aussi j’ai sué ma race pour comprendre dans quel ordre prendre ces fichues plateformes au dernier niveau de Mario !!

 Que nenni mes amis ! Lorsque vous vous trouvez dans la friendzone trois choix s’offrent à vous :

-En sortir

-Y rester

-Devenir érotomane

 I)                    En sortir

Sortir de la friendzone est une tâche malaisée. En effet il faut que l’objet de vos désirs, soit :

a)      Remarque votre existence

b)      Aie envie de faire des mélanges salivaires avec vous.

Malaisée disais je. Pour ça deux écoles s’affrontent :

1/ Les partisans de la déclaration enflammée : Prenez votre courage à deux mains, un poème de Baudelaire au pif (ne parlant pas de prostituées de préférence), une déclaration d’amour toute faite et à genoux, en prenant un air de merlan frit (ça marche aussi avec les sardines à l’huile), déclarez lui votre flamme. Si c’est une fan de Dawson et de Melrose Place ou alors que vos sentiments sont partagés par une chance phénoménale, vous avez tout gagné. Sinon vous n’avez plus que vos yeux pour pleurer.

Dawson, des années d’intrigues amoureuses bidon.

2/ Les partisans du snobisme : l’élu(e) de votre cœur ne sait pas que vous existez ? Faites lui sentir que vous non plus. Il est grand temps de signaler qui est le patron du regard froid et méprisant. C’est le moment de sortir tout vos amis du placard (excepté si c’est de lui dont il s’agit…) et de montrer au monde à quel point vous êtes populaire. Peut être plus efficace que la première technique, cela ne marche que si vous êtes un visage connu et que votre cher(e) et tendre connait votre prénom (un peu comme dans Death Note oui (pour les gens largués, vous êtes sur un blog de geeks)). Sinon faire exprès de ne pas le/la remarquer est un échec. C’est souvent un échec. Pourquoi ? Merci Anne Sophie Girard.

II)                  Rester dans la friendzone

Pourquoi partir, ici il fait chaud, pas de risques à prendre, votre cœur n’est pas amoché par l’amitié bien et tant que vous avez baillonnée la petite voix faisant remarquer qu’elle en veut plus tout va bien… Presque bien… Bien…

III)                Devenir érotomane.

Comment faire ? Suivre partout votre victime, ne jamais lui parler, la harceler, la tuer/violer, vous suicider. C’est parti, maintenant c’est votre coté sauvage qui va prendre le dessus.

        Maintenant que vous êtes en train de réfléchir à ce que vous allez faire, moi je vous laisse. Je dois mettre sur écoute le téléphone de mon copain ♥

Aujourd'hui il a fait beau. Mais tel Sauron, dont l'oeil infatigable n'a de cesse de trouver son anneau, nos élus ont décidés qu'il fait faisait bon nous écraser les burnes à coup de rouleaux à patisserie.

Internautes, internautes, Français, Françaises, Belges, Belges,

Le ciel d'ordinaire azur d'Internet se noircit peu à peu.

Mais quelle en est la cause ? Et pourquoi les gens de pouvoir voudrait nous emmerder ?

Ne préfèrent ils pas lutter contre les écarts salariaux entre les sexes, contre les préjugés racistes et homophobes.  Faire des lois qui ont du sens ?

Non mes bons. Votre bonheur, ces gens s'en branlent. Aujourd'hui ils ont décidés de toucher à un truc auxquels nous, geeks, tenons. Internet.

Et ils ont décidés de nous le saloper tels des chiards pas soigneux.

Après avoir jarté MégaUpload, ce qui en soit était pas trop une mauvaise idée bien que MégaUpload réjouissait mes après midi pluvieuses, pour de mauvaises raisons (renseignez vous), ces margoulins veulent emmerder la création d'après support.

Le FanArt, la vidéo amateur etc. Bref, des gens crevés de thunes ont décidé de péter les rotules de gens qui pour le bonheur de leurs fans et par passion sont carrément moins friqués.

Pourquoi ? A cause des lobbys. Mais pourquoi les lobbys c'est des enculés de leur mère, me direz vous ?

Viens devenir une boursouflure haie de la plèbe mais riche avec moi.

Comparons premièrement les lobbys avec le Palpatine. Les lobbys c'est le Coté Obscur de la Force. Au début, ils n'ont rien d'attirants. C'est normal, ils sont moches, tout le monde les déteste. Seulement ils ont des moyens de persuasion. En fait ils ont les moyens tout court. Ils ont l'argent, en veulent plus, n'en lacheront point.

Savoir que le monde est contrôlé par les gros sous ne vous aidera point. A vrai dire, c'est juste triste. Et si d'habitude j'arrivais à juste m'en désespérer, aujourd'hui, je me révolte du haut de mon mètre cinquante-six. Je me révolte.

Balavoine - Mon fils, ma bataille

Touchez pas à mon Internet. Touchez pas à mes FanArts, mes émissions geekesques, ma culture, mon fils, ma bataille !

Allez casser les jouets des autres. Cassez les dictatures, tuez les méchants, je sais pas moi ! Mais arrêter de nous emmerder ! Laissez nous tranquilles, nous les geeks, les internautes ! On est parfois à la limite du légal, je sais. Parfois on regarde des séries en ligne, parfois on télécharge un peu de musique, on sait c'est pas bien, je réduis ma consommation, plus que deux séries par semaine et je mets des patches, mais laissez nous.

J'espère vous avoir convaincus.

Si oui, je vous demande s'il vous plait en faisant les yeux de bambis de signer la pétition Avaaz, ici.

Nous avons tous été enfants. Vous, moi, Bill Gates. Tous. Même ceux au fond qui resquillent. Surtout eux d'ailleurs.

Certaines personnes sont difficiles à imaginer en tant qu'enfant. Dieu par exemple. Que faisait-il quand il n'était qu'un bambin ? Etait-il turbulent et opportuniste commes ces sales moufflets qui piquaient vos jouets de bac à sable ? Ou était-il du genre à rester aggripé au manteau de sa maman en tétant son pouce avec une expression d'un veau mort né ?

Vous ne trouverez pas les réponses à ces questions dans cet article et d'ailleurs moi non plus. Mais je vous autorise à imaginer Dieu enfant. Et même ado. D'ailleurs quel ado était-il ? Cachait-il ses revues pornos sous son matelas, fumait-il des Gitanes en cachette, avait-il de l'acné et une moustache naissante ? Montrait-il son caleçon avec des jeans taille basse et avait-il un agenda avec la gueule de Che Guevara dessus ? Ou celle de Bob Marley ? Bref. Peut être répondrais-je à ces questions épineuses plus tard.

Quel rebelle ce dieu

A présent, je vous demande votre concentration. Respirez lentement, regardez la lumière clignotante, vos paupières sont lourdes, très lourdes, vous êtes fatigué, quand je claquerais dans mes mains vous vous endormirez.

Vous êtes un enfant. Ridicule mauviette de huit ans et demi, fort du sentiment grotesque d'être "grand" parce que vous êtes plus grand que les CP ces "minus". Rappelez vous, pour beaucoup, ce n'est pas encore si lointain. Si certains géants font déjà leur mètre cinquante (ces chiens), beaucoup encore (bonjour !), stagnent encore au mètre 25, ayant (déjà hélas !) ce sentiment que quelqu'un s'est foutu d'eux.

L'enfance est l'âge du mignon. Tel un petit chaton sur internet, les gens ont tendance à s'extasier de votre petitesse, de vos joues rondes, de votre charmante tête à claque boudeuse du dernier caprice inassouvi et du fait que vous ayez teeeeellemeeeeent grandi depuis la dernière fois qu'ils vous ont vu (généralement les gens qui disent ça sont soit : a) des gens qui sont venus féliciter vos parents de votre naissance, puis fiers du devoir accompli, ont pris le soin d'être totalement absent de votre vie, afin de ne pas être appelé en cas de dépannage urgent pour vous garder une soirée, ou b) des gens qui ne vous ont pas vu depuis maximum deux semaines et demie). Être adorable est d'ailleurs la seule qualité des enfants. Morveux, sales, ignares, souvent mal fagotés, infichus de ne rien faire. Allez demander à un enfant de disserter sur la pensée au XVIIIe siècle. Sérieusement. Je disais donc que les enfants ont comme unique chose pour eux d'être choupininous. Et heureusement pour eux, ce pouvoir est assez puissant et je l'appelle communément le cute appeal. Bien joué les morveux.

Cet enfant n'est pas très choupininou. Pour les plus courageux, je conseille très fortement l'Orphelinat.

Mais ce système a une faille : les enfants mignons ont tous la même gueule et s'habillent tous pareil, ces sales gniards conformistes. Si les filles arborent de ridicules robes à smocks froncées à la pointrine (inexistante ou de la taille d'une piqûre de moustique) et des chouchous fantaisis, les garçons se cantonnent aux légendaires sweets GAP gris à capuche et aux trousses et cartables Poivre Blanc.

Des légendes de notre primaire.

Ah, la primaire, période délicate où les filles jouent avec les filles, détestent les garçons (et vice versa) sans pour autant s'empêcher de fantasmer sur Kévin, qui a un sweet GAP à capuche, qui joue au foot, dit "putain" et qui mange des cigarettes en chocolat pour se la péter. D'ailleurs, personne ne se rappelle des cigarettes en chocolat ? Dans de vrais emballages de clopes mais en chocolat praliné et totalement addictives, ne pouvant être, en réalité, que porteuse d'un diabète ou d'un risque accentué d'obésité précoce. Peu importe tas d'ignorants.

Cadeau BONUX : Des enfants mignons comme les autres.

L'enfance, c'est également cette période somptueuse remplie de défis. Qui réussira à grimper le plus haut ? Qui sera cap' de demander à la maîtresse comment on fait les bébés ? Qui sautera le plus de fois à la corde à sauter ? Qui sera le maître Pokémon de la cour de récré ? Rappelez vous comme à l'époque ces défis pitoyables, bien que pleins d'une innocence depuis lors perdue, remplissaient vos journées. Rappelez vous à quel point à l'époque le ou la meilleur(e) de la classe était l'héro(ïne) suprême à vos yeux.

Le top niveau de la classe. Notre rêve à tous. A l'époque. Cette première place occupait nos pensées, nous en rêvions et celui qui l'occupait était l'objet de nombreux fantasmes. Etait-il le chouchou de la maîtresse ? Assurément. Lui avait-il offert des smarties pour l'acheter ? Cela se disait à l'étude. Mais sa maman n'était elle pas banquière ? Cela expliquerait tout.

Disons enfin que cet enfant a souvent eu une scolarité difficile : ses lunettes ont été cassées à de multiples reprises (volontairement ou non), son cartable Tintin (l'idole des gens propres sur eux) avait terminé trois fois dans les toîlettes des filles et l'on marchait sans vergogne sur son manteau à la récré.

Pour cet enfant je demande une minute de silence.

J'espère que cet article vous aura plu, j'ai pris du temps à le mettre au monde, je vous aime, restez un peu enfants quand même tous, BIG BISOUS BIEN BAVEUX.

Judie

PS : Avez vous trouvé qui étaient les enfants mignons tout plein ?

Oyez, oyez, braves gens. Il fait très, très, très froid. Megaupload - que vous prononcez tous mégahuplôde - est mort à cause de SOPA et PIPA (et leur soeur KATE, comprenne qui pourra), emportant dans sa cybertombe un formidable article que je ne peux plus écrire. C'est vraiment un hiver de merde. Mais ne perdez pas foi en l'humanité, des articles arrivent bientôt. Dès qu'il y aura du soleil, en fait. Ce qui, vu que nous venons d'entrer dans une nouvelle ère glaciaire, me laisse un certain temps. J'ai froid.

Roman

Aujourd’hui, on est le 21 décembre, c’est l’hiver ! Et c’est aussi l’anniversaire de ma mère ! Bon anniversaire maman. Ça, c’est fait. Comme j’étais en panne d’inspiration, je me suis dit que ça ferait un sujet d’article plutôt cool, ancré dans l’actualité et tout. L’hiver, hein, pas ma mère. Les anniversaires, c’est chiant et commercial – sauf le mien.

Des flocons de neige au microscope. Amazing, pas vrai ?

L’hiver, donc. C’est quoi l’hiver ? Je ne vous ferai pas l’affront de vous rappeler que c’est une des quatre saisons des zones tempérées, traditionnellement perçue comme la plus froide (merci Monsieur W), non. L’hiver, ça n’a rien à voir avec ça. L’hiver, c’est partir de chez soi à 7h du matin, dans le froid et l’obscurité, et revenir chez soi à 6h du soir, dans le froid et l’obscurité aussi. L’hiver, c’est une affaire de volonté.

L’hiver, c’est le froid, la neige et le verglas. Qu’y a-t-il de plus amusant que de mettre le nez dehors et de, successivement, prendre une rafale de vent complètement glacé en plein visage, patauger dans les dix centimètres de neige fondue devant la porte puis glisser sur la plaque de verglas qui s’est vicieusement formée devant le passage piéton ? Exactement : tout. Comme tout le monde, j’adore la neige. Mais uniquement derrière ma fenêtre. C’est joli, c’est blanc, ça fait très Noël. Sauf que c'est froid, que ça fond au bout de trois jours et que j'aime sortir de chez moi sans enfiler une combinaison de ski.

L’hiver, c’est aussi la magie de Noël. Plaisir de se faire offrir, joie de recevoir. Et que serait Noël sans le Père Noël ? Un vieux barbu tout de rouge vêtu, qui oblige des centaines de lutins chinois à travailler sans relâche dans ses usines planquées en Laponie. Et pendant ce temps, il se pavane dans tous les supermarchés du monde (en même temps !). Ça doit être ça, la magie de Noël. D'ailleurs, à chaque fois, il trouve le moyen de passer chez son coiffeur, son chirurgien et sa diététicienne, pour changer de visage, de couleur de sourcils et pour maigrir ou grossir, pendant que vous, vous êtes dans les embouteillages entre Super U et Auchan. Alors vous arrivez à Carrouf, et il s'est totalement métamorphosé depuis votre passage chez Leclerc où tout est moins cher. Qu’est-ce que vous foutez dans les magasins d’ailleurs, si le Père Noël s’occupe des cadeaux ?

Dumbledore Le Père Noël

Vraiment, le Père Noël est une énigme. Il se balade en traîneau comme le dernier des ploucs écolos, alors qu’il pourrait se payer un jet privé. Il passe par la cheminée, forcément allumée, se brûle, et se pointe comme une fleur au milieu du salon pendant que tout le monde dort. Mais surtout, il offre des cadeaux comme ça, par pure bonté d’âme, sans rien demander en retour. Une telle générosité cache forcément quelque chose. En fait, personnellement, quand on me parle d’un petit vieux, barbu, mal habillé, avec des lunettes et un embonpoint prononcé, qui s’intéresse aux enfants et pénètre chez eux la nuit, ce n’est pas au Père Noël que je pense.

L’hiver, enfin, c’est le réveillon et les 20 kilos que vous prenez à force de vous enfiler deux dindes par jour pendant une semaine. C’est décorer le sapin en se demandant s’il faut le mettre dans l’entrée ou à côté de la cheminée – une question d’importance capitale. C’est retrouver toute sa famille, y compris l’oncle à l’humour en dessous de la ceinture et la tante qui vous raconte la même histoire chaque année, pendant des repas interminables où tout le monde vous dit que « Qu’est-ce que tu as grandiiiiiiiiiiiii, la dernière fois que j’t’ai vu t’étais pas plus grand(e) qu’ça, et blablabla. T'es en quelle classe maintenant ? Oh, c'est biiiiiiieeeen, tu es grand(e) maintenant ! ». C’est voir tous les ans les mêmes films pendant deux semaines : De Funès, Bourvil, James Bond, et des films américains complètement nazes sur Noël.

Harry Potter Vous ne pensez pas sérieusement que vous allez échapper à la Grande Vadrouille, si ?

Et pour terminer, comme cet article n’a pas de chute, je voudrais m’attarder sur ma situation personnelle. Il fait 27°C dans ma chambre. Je crève de chaud. Depuis quelques nuits, je dors sur la couette, la fenêtre grande ouverte alors qu’il doit faire quelque chose qui ressemble à un petit 0°C dehors, et j’ai envie de m’arracher la peau comme si c'était l'été. Sauf que c'est pas l'été.
Bref, malgré tout, l’hiver, c’est chouette. En plus, c'est votre dernier. L'année prochaine, ça se passera différemment, avec des colonnes de flammes et un décor apocalyptique. Alors bonnes fêtes à tous, et grossissez bien.

Roman

Aujourd'hui afin de satisfaire mon insatiable curiosité (j'adore ce mot insatiable pas vous ? In-sa-ti-a-ble, insatiable... hmmm passons) et surtout dans le but de pondre cet article, je suis aujourd'hui allée chercher dans le dictionnaire, le Larousse, ouais je lis encore des dico, je sais, je suis so 2004 (la date de mon Larousse) mais peu importe, la définition du mot geranium.

Une photo de la bête

Geranium : n.m. (lat geranium, du gr geranos, grue, à cause de la forme du fruit). Plante sauvage très commune de l'Hémisphère nord, dont le fruit rappelle un bec de grue et dont plusieurs espèces ornent les jardins. (Les grands geraniums cultivés appartiennent au genre voisin Pelargonium ; famille des géraniacés).

Bref (cette expression semble être copyright de nos jours). Malgré tout le respect que je dois aux roux, particulierrement quand ce sont des femmes qui font la couverture des dictionnaires partenaires de Question Pour Un Champion, cette définition, que j'ai recopié sans copier/coller à la lumière faiblarde de ma chambre, cette définition me semble incomplète bien que je souligne l'effort de la recherche des racines grecques et latines.

Je vais laisser un blanc ici parce que j'ai tenté de caser la blague du miroir magique avec LaRousse qui dit "je pense que je suis la plus intelligente" et qui se fait aspirer mais malgré moult tentatives pour la placer j'ai dû abandonner. Je vous laisse donc ici, un espace vide afin, que vous vous y essayiez vous aussi et que vous trouviez ça drôle que j'y ai pensé.

...

...

...

Voilà.

Être un géranium c'est possible. A vrai dire, ça arrive souvent et en général c'est triste. Vous avez déjà vu un géranium triste ? Non ? C'est parce qu'il cache sa rancoeur et sa tristesse et je vais expliquer pourquoi, comment, la vie cachée des geraniums humains.

Dans le langage familier on utilise plus couramment l'expression, vulgaire de "Bouche-Trou" avec laquelle on peut faire beaucoup de blagues vaseuses, mais comme nous sommes sur un blog culturel et que je dois être crédible auprès de Dieu quand je lui demande de m'envoyer Keanu Reeves ou un petit million, je ne la ferais pas. Déçus, hein ? De plus, l'expression "Être un géranium" comporte des subtilités que "Bouche-Trou" n'a pas. Être un géranium c'est donc non pas "être là quand les gens ont besoin de vous et être salement lâché après" mais plutôt "Être là quand les gens, même s'ils vous aiment bien, n'ont pas besoin de vous et que vous êtes là parce que c'est comme ça d'habitude et qu'en plus vous faites joli dans le décor". Pas beaucoup plus mieux.

La situation de Geranium n'étant donc pas super reluisante vous avez tenté de vous demener contre : d'abord vous toussotiez afin qu'on remarque votre présence, puis vous éternuiez violemment, pour embrayer sur l'etouffement feint en plein repas. Mais quand vous avez fait semblant de faire une crise cardiaque dans les couloirs et que personne de vos amis ne s'est retourné, vous avez compris que vous pouviez aller mourir ailleurs (BIG UP Farida & Violette). Mais ne désespérez point ! Hola, tudieu (+1 pour moi pour avoir dit "tudieu"), ne vous affolez pas ! Car Tatie Judie va tout vous expliquer. Mais expliquer quoi ? Comment redevenir un acteur majeur dans la vie de nos amis ? Mais non pardi (+1) ! Pour vous expliquer à être un joli geranium ! Car mes amis, le geranium est un vivace ! Il se replante tout seul l'année d'après même si vous l'avez laissé crever de froid ! C'est donc pour ça que je vais tout vous expliquer. Ce n'est pas un p'tit coup de froid avec vos potes qui va vous faire mourir ! HEIN ??! Répétez le. VOUS ÊTES UN GERANIUM !!!

Les 12 travaux d'Astérix : Je suis un sanglier !

Tendez les bras, prenez des pompoms fuschia, souriez, faites joli. C'est presque un compliment de faire joli. Si. Si. Il y a "joli" dedans. Regardez vous, vous êtes joli. Arrosez vous bien, mangez équilibré et vous fleurirez, c'est chouette. Peut être même qu'une abeille se posera sur vous pour faire du miel et accessoirement vous poliniser, excusez moi, je pars en coquillette, et bref, en faisant le geranium peut être que vous trouverez l'amour. Peut être.  

Et pour prouver mon hypothèse, voilà ce qu'on trouve en tapant "Geranium Sexy", prouvant bien, qu'en étant un géranium vous avez +100% de chances de rencontrer une autre belle plante.

 Pour terminer, ravalez votre rancoeur, votre jalousie, même si je sais, c'est dur de se dire "Mes potes ont une vie. Une vie sans MOÂ ! MOÂ !!". Ouais, toi même tu sais que ça pue de faire fond d'écran dans la vie de tes potes, mais c'est pas grave. T'as vu Chris Evans le mec de la pub ? T'as vu Evan Rachel Woods, la meuf ? T'as pas envie d'en pécho au moins un des deux ? Bon. Alors lève les bras, tes pompons fuschia (ils peuvent également être rouge ou blanc au fait) et fait joli. Bordel.

PS : Cet article est inspiré sur des faits réels, et si des vrai gens se reconnaissent, tout ça c'est pour déconner je vous aime. Si d'autres personnes se reconnaissent, tout ça c'est pour de vrai, je vous aime aussi.

Très chers lecteurs aujourd’hui, je n’irais pas par quatre chemins mais n’en utiliserait qu’un pour vous dire : mes angelets, aujourd’hui j’vas vous causer de la VOLONTÉ.

Pas celle là, une autre.

6 :30

Cela fait déjà 27 secondes que le réveil sonne son impétueux bip bip afin de vous extraire tant bien que mal du lit. Il est temps que cela cesse. Un bras se décide enfin à sortir d’entre les couvertures afin d’arrêter cette odieuse machine, tâtonne dans le noir cherchant la bête, l’attrape et la ramène presto sous un oreiller afin de faire taire ce maudit engin. Un combat invisible commence. Sous l’oreiller, vous tentez vainement d’éteindre votre bourreau des nuits en appuyant furieusement sous tous les boutons. Après une lutte acharnée, vous abandonnez désormais le muet réveil à sa prison c'est-à-dire toujours sous l’oreiller.

6 :33

L’élément perturbateur passé sous silence, vous vous sentez mieux. La douce torpeur qui vous possédait à peine cinq minutes plus tôt vous enlace à nouveaux, le silence propice vous berçant, vous souriez, complice, vous vous laissez glissez dans ces délices tentatrices…. NON ! Une petite voix (pas la même que dans Fred et Jamy) dans votre tête se met à faire presque autant de boucan que le réveil de tout à l’heure vous rappelant à l’ordre.

Pour ceux qui voulaient savoir, c'est elle la petite voix. Elle s'appelle Valérie Guerlain. Dites lui bonjour.

VOUS AVEZ COURS NOM DE ZEUS. A huit heures. Bougez vous. Allez ! Allez. La petite voix essaie de se faire entendre malgré une autre petite voix perverse vous susurrant « Juste quelques minutes, qu’est ce que ça fait si je dors, quoi ? deux minutes de plus ? On est laaaaarge ». Ce débat intérieur faisant rage, vous pesant le pour et le contre, le temps lui, passe inexorablement. Et le temps que vous décidiez d’écouter la petite voix perverse, et donc de dormir cinq minutes de plus, il est déjà 6 :45, comme ça sans prévenir. « JE L’AVAIS DIT ! » exulte petite voix numéro un, celle qui a dû être élevée chez des sympathisants nazis pour être si dure tandis que l’autre semble lever les yeux au ciel « Boooon, c’est pas la mort, on dort jusqu’à 50, ça ne change rien, peinard ». Bref, vous voilà de nouveaux perdu, ne sachant plus écouter pendant que votre subconscient vous encourage à vous grouiller là maintenant, tout de suite. Après un soupir et un geste de volonté manifeste, vous rejetez la couette et laissez apparaître une jambe.

-BOUDIOU QU’CA CAILLE !!!

Votre jambe réintègre immédiatement le lit, la couverture, la chaleur, pleurant d’avoir tant souffert. S’établi un conseil de guerre dans votre tête :

Petite voix n°1 (tapant du poing sur la table) : Mais c’est quoi c’foutoir ? Ca fait bien 20 minutes qu’on devrait être debout ! J’rappelle qu’il y a un exo de maths à finir, et une recherche internet à faire, et que si on m’avait écoutée, ç’aurait été fait d’hier et on aurait été peinard ! Alors maintenant, on s’bouge le train ÉPISSÉTOU !

Petite voix n°2 (mâchant un chewing gum et levant les yeux au ciel) : Whololololo, calme toi, c’eeest bon, y’a pas l’feu, en plus aujourd’hui c’est grève ptet qu’y aura pas maths, tranquille.

Petites voix votantes (muettes, agitant des papiers pour se donner contenance)

Tandis que vous tentez vainement de trouver une solution à ce problème, vous regardez encore une fois votre réveil d’un air pitoyable, espérant que le temps, ce chien décadent vous laissera un répit. Réponse : Non.

7 :11

Mal coiffé, attifé comme l’as de pique, vous avez enfin levé le camp du lit. Vous avez sale gueule soyons francs. Devant votre bol de Chocapics préparé à la vas-vite, vous regardez l’heure sur le micro-onde d’un air malveillant.

7 :27

Vous vous brossez les dents en même temps que vous finissez votre exo tandis que de votre troisième bras vous pianotez frénétiquement pour la faire la recherche approfondie sur les produits phytosanitaires. Vous n’avez pas de troisième bras. Dommage pour les produits phytosanitaires. Vous recopierez à l’interclasse sur le dindon qui vous prête toujours ses devoirs, d’un air de plus en plus affligé et las. Il y a une tache de dentifrice sur votre cahier. Pas grave.

7 :39 

Ca fait déjà cinq minutes que vous devriez être parti mais l’exo de maths était plus coriace que prévu.

Voilà qui résume bien la situation

7 :44

Vous partez en courant en oubliant votre manteau. Dehors il meule sévère pourtant.

8 :07

Devant votre air essoufflé et votre face rougeaude, le prof de maths a eu pitié de vous. Vous entrez donc en grand fracas. Finalement assis, après avoir bousculé tous vos voisins, soufflant comme un taureau que le torero a fait galoper dans toute l’arène, vous sortez, fier comme un coq votre fichu devoir. Où est il ?

9 :18

Vous avez écopé d’un zéro pour les exos, c’était la 3^e fois que vous oubliiez votre cahier et malgré votre air de chien battu « mais madaaaaaaaaaaame, je les ai fait en plus ! », la prof ne vous a pas cru. Le dindon était malade et ça gonflait les autres de vous laisser copier. Vous êtes donc fait passé un savon, pour votre manque de sérieux. Et comble du comble, vous n’avez plus d’argent sur votre carte de cantine. Bref, c’était une matinée type.

Nous connaissons TOUS ce genre de situation, et que celui qui n’a jamais fait ses devoirs le matin entre deux tartines de Nutella me jette la première trousse.

T'as pas honte ??

La volonté est donc une chienne qui n’est jamais là quand il faut, la volonté c’est un peu comme votre prof qui n’est jamais là, qui a toujours une bonne excuse « ma fille était malade », « la grève des transports » (quand le ou la prof prend la voiture), « mon chien a mangé ma copie » pour être absent. Et bien la volonté c’est pareil. La volonté c’est lorsque vous avez un DM de maths à rendre pour avant-hier qu’elle choisit de poser ses RTT ou lorsque vous devez faire un régime et que vous avez besoin d’elle pour ne pas attaquer sauvagement le paquet de chips dans le placard. La volonté, mes amis, est une garce sans nom dont nous manquons tous cruellement. Et dans la hiérarchie psychique, la chef de la volonté c’est votre petite voix aux tendances dictatrice totalitaire, celle qui vous conseille de bosser alors que vous avez fini exceptionnellement à midi et qu’il fait grand beau temps. Et quand elle ne trouve pas la volonté et ben elle crie partout, elle s’énerve en lançant des ordres à tout va : « MAIS BORDEL CE DM EST TOUJOURS PAS FAIT ???!!! IL DEVAIT PAS ETRE FAIT POUR MARDI ???!!! ». Enfin la seconde voix, la grosse feignasse, celle qui vous énerve encore plus avec ses « Wolololo, tranquiiiiille, y’a pas l’feu », elle c’est la fonctionnaire de votre cerveau. Elle est là parce qu’elle est payée. Mais en direct live et juste pour vous, elle ne va rien glander et vous faire chier. « Elle est où Jeanne ? »

Pour terminer je voudrais juste crier très fort en pleurant : « J’ai la flemme de trouver une chute à cet article, Volonté ma puce, REVIENS ! »

Aujourd’hui je vais traiter de la création de l’homme. Oubliez vos livres de SVT page reproduction humaine, mon sujet va bien au-delà. Nous sommes faits d’étoiles. Magique non ?

Répétez-le. Nous sommes faits des étoiles. C’est beau non ?

En réalité nous sommes de la micro poussière d’étoile ce qui est déjà moins cool. Par exemple, moi, le Soleil c’est un peu le cousin qui a réussi dans la famille. Mais bon. C’est aussi le vôtre. Zut.

Vous vous demandez où je veux en venir ? C’est normal. Je galère un peu à amener mon sujet. A présent vous devriez en arriver à comprendre que nous sommes tous frères et sœurs, que le racisme c’est pas bien et tout. Mais en fait c’est pas de ça dont je veux vous parler. Je vais vous parler du fait que nous sommes en gros, tous cousins issus de germains. Majestueux. Mais chiant, carrément chiant.

Car cette conclusion vous pousse à réfléchir. La pouffiasse de votre classe, celle qui piaille plus qu’elle ne parle, cette connasse qui sort avec tout ce qui a deux jambes, deux bras et un organe génital, la meuf trop maquillée, pas assez habillée, OUI, cette pouffiasse là vous m’avez comprise, et bien… et si cette connasse était la descendante du même putain de singe que vous ? De la même étoile ? Du même astéroïde ? Il est vrai que ce serait gênant.

On en arrive à mon sujet. Ouf. Trois paragraphes et des myrtilles pour en arriver là.

Aujourd’hui je vais vous parler de ces gens gênants dont on fait (ou pourrait) faire partie de la famille.

Vous avez toujours eu honte de tonton René, le mec bourré dès le début du réveillon de Noël, celui qui fait une blague cochonne au moment ou on découpe la dinde (ou chapon, je suis pas raciste en volaille), vous vous êtes toujours demandé POURQUOI et COMMENT votre sœur pouvait avoir les mêmes parents que vous, vous avez rêvé des nuits entières de faire partie de la famille lointaine de Johnny Depp ou de Superman (supervision et voler qui ça ne branchouille pas ?). Bref. Récapitulatif des gens qui font ptet partie de votre famille intergalactique.

1/ Commençons en douceur avec le capitaine Haddock, Archibald de son p'tit nom. Personnellement, j'ai toujours rêvé de faire partie de sa famille, le capitaine est un peu la version améliorée de tonton René (on va voir ici ceux qui suivent), alcoolique chronique, bourru, sympa, le capitaine Haddock est partenaire officiel de ton instruction et de ton vocabulaire injurieux. C'est un peu le tonton cool qui au lieu de t'emmener au musée voir une expo d'art moderne, te file du pèze pour que tu t'achètes un truc qui te plaise, "un truc comme vous avez les jeunes aujourd'hui" (toi même tu sais) pendant qu'il va s'en jeter une derrière les fagots. Bref. Le capitaine Haddock, t'es fier d'avoir en commun avec lui un peu de poussière d'étoiles.

2/ Oui. Double oui. Un Chat. Car après tout vous avez environ 125 pathologies héréditaires communes avec ce chat, donc il n'est pas exclu que lui et vous descendiez de la même bactérie, du même astéroïde. Avoir un chat dans sa famille, ok tout le monde connaît. Mais un chat qui fait VRAIMENT partie de la famille, tout de suite ça pète plus ! Malgré tout, savoir que le destin a été assez cruel pour que le chat, ce gros branleur, aie eu tous les avantages et que vous vous trimiez nuit et jours pour rien est assez nul. Pendant que vous bossez le chat lui dort seize heures par jour et vous l'avez dans l'os. Saloperie.

3/ Quand j'ai demandé à un pote de qui voudrait il faire partie de la famille, il m'a dit Tim Burton. D'accord. Tim Burton fait des films cools. Tim Burton fait jouer des acteurs cools. Tim Burton a une femme cool. Tim Burton a une coupe funky et des fringues fresh so fresh. Donc Tim Burton est cool, CQFD. C'est un peu le cousin arty que vous aimeriez présenter à vos potes : "Ouais j'vous présente mon cous' Tim venu des States, il fait des films et des dessins animés, il est sympa. Par contre va falloir lui causer en anglais." Enfin bon. Un mec qui s'arrache des dents tout seul dans son bureau de chez Disney (ndlr : à l'époque de cette photo, Timmy bossait en vendu chez Disney) j'ai légèrement envie de dire "Attention. Ce mec est un gros malade dangereux." mais cet opinion n'implique que moi. Car en réalité, si Tim a l'air cool de loin, de près, il ressemble plus à votre cousin germain tueur de corbeaux et collectionneur de ciseaux rouillés que vous souhaiteriez cacher dans un placard. Mais je dis ça, moi, je dis rien.

PS : Timmy, tout ça c'est pour déconner, hein, en vrai je te kiffe, BIG UP Timothy (ouais je suis une ouf je connais le prénom de Tim Burton)

4/ Les Teletubbies. Derrière votre écran, votre main sur la souris se crispe, votre visage se fige sur une expression d'horreur "Non. Pas eux. Non... ils... me veulent du mal... NOOOOAAAN !!". Oui, je sais tout de vous, je suis omnisciente, Big Sister is watching you. Mais revenons en aux Teletubbies. Car en réalité nous savons tous que derrière ces grotesques déguisements, se cachent des humains, des humains COMME VOUS ET MOI. Mais surtout comme vous. Ces gens à l'intérieur, ont peut être un parent gaulois, romain, vandale commun avec vous ! Alors... Lequel êtes vous ? Po, Lala, Dispy ou Tinky Winky dit l'incertain ?

"Tu veux que je te raccompagnes à la maison ?"

5/Après le choc des Teletubbies, aujourd'hui je vous présente votre jeune oncle Hugh Jackman. Hughie c'est le frère cadet de dix ans de moins que votre père, même que parfois vous demandez si c'est bien le même père quoiqu'en puisse dire votre mamie. Hugh est beau. Hugh est musclé. Vous aimeriez carrément qu'un jour, onc' Hughie vienne vous chercher au lycée avec un ptit air décontract de BG. Onc'Hughie est cultivé, n'abuse pas du champagne à Noël et ne parle jamais de ses problèmes gastriques, il est avocat (je refuse qu'il continue à tourner s'il doit rouler des patins à toutes les grognasses d'Hollywood voyez vous), gagne de l'argent et porte le petit costard comme personne. Voilà quelqu'un avec qui vous êtes contents de partager 99% de votre ADN.

6/Natalie Portman. Natalie, Natalie tu n'étais pas mon premier choix mais devant l'engouement causé par ta personne, je me suis dit que oké, t'avais la classe et que j'te verrais bien sur une tof de famille avec moi en faisant des petits signes de la victoire comme des dindes. Natalie c'est un peu votre cousine qui a réussi, un beau mec au sourire éclatant, un job de malade, un émail dentaire sponsorisé par l'UFSBD et des fringues à tomber. Vos potes craquent dessus, vous pouvez vous la péter lors des réunions de famille et c'est pas elle la connasse qui va bouffer votre dernière part de buche (j'ai un gros kiffe sur Noël en ce moment j'sais pas pourquoi). Bref. Préparez vous à l'appelez Cousine Nat car après tout, vous avez 90% de choses en commun et ça c'est pas rien.

J'espère que mon article vous a plu, que votre nouvelle famille vous a plu et n'oubliez pas : la prochaine fois que vous voulez péter les dents à votre pouf de classe, pensez vite qu'elle fait peut être partie de votre famille et que la famille c'est sacré. On tape pas dedans.

Et pour finir, une chanson qui  me met le baume au coeur.

La Bitch (plus connue sous le nom de Biatch voir poufiasse biblique pour ceux qui les connaissent un peu plus que les autres (clients)), un genre de personnage bien heureusement en grande explosion démographique. Halala, la Bitch, que faire sans elle ? Étant un garçon (ou mâle selon les versions), je ne peux qu’approuver et inciter cette dérive de la Fraisheur Attitude.

Bon alors pour commencer nous allons définir la Bitch : la Bitch est une fille (ou un gay se considérant de sexe féminin) dont seul une partie du corps est inactive : le cerveau. Eh oui, c’est bien malheureux mais cet organe, QG de toute notre intelligence capable de fulgurants calculs nous permettant de faire des choses si stupéfiantes, est totalement oublié chez la Bitch. En effet elle a plutôt tendance à le maintenir au repos le plus longtemps possible que se soit par la consommation massive de drogues quelconques ou par de périodes d’inactivités prolongées. La Bitch étant bien souvent un produit dérivé de la Fraisheur Attitude, comme je l’ai dis précédemment, a plutôt tendance à s’habiller à la mode (mode des Pussicat Dolls j’entends). Ce caractère vestimentaire permet donc une identification quasi instantanée de la Bitch. Exemple concret de vêtements portés par la Biatch :

Nous pouvons remarquer que cette jeune femme connue pour être une Biatch utilise à merveille la puissance sexuelle du rose porno ! Nous pouvons aussi observer un sublime soutien-gorge mettant en avant la poitrine de cette jeune femme.

(Non, Roseline Bachelot n’est pas une Biatch, c’est juste une contrefaçon made in France)

 La Biatch se distingue aussi par son comportement et sa tenue. En effet, elles adoptent majoritairement une forme de bouche dite en « cul de poule » :

La Biatch a aussi un langage qui lui est bien propre. Les mots « fraîsheur » (prononcé « frêtcheurrrrrrrr »), ou alors « putain j’ai plus de fond de tein » et encore « non, je ne suis pas une tepu » sont monnaie courante dans une conversation avec une Bitch !

À présent nous aborderons le thème tant attendu : comment devenir une Biatch !

                Pour commencer être une Biatch est, contrairement à l’opinion général, une tâche bien compliquée… En effet, devenir une Biatch est un travail de tout instant : il faut avoir la posture, les caractères physiques et vestimentaires, le timbre vocal, la rythmique orale et le vocabulaire… Devenir un Biatch prend donc du temps. Pour se transformer en Biatch la fille doit donc commencer à faire sa langue de pute (LDP) c'est-à-dire parler dans le dos des gens, critiquer ouvertement les bolosses du lycée,  se rebeller contre les profs et autres personnes essayant de leur faire apprendre la moindre chose. Il faut aussi manger tous les jours au McDo, ne pas lire les livres de la français, ne pas faire ses exos de maths, mettre son pantalon de survêtement par-dessus son jean, faire du gringue au mec le plus con de la classe, traîner dans les rues avec des bolosses en tout genre, avoir un blackberry avec SMS illimité et l’utiliser en cours, rire d’un manière indescriptible (limite orgasme), mettre des T-Shirt permettant une vue plongente sur ses seins (pour ne pas dire mettre des T-shirt rendant les décoltés obselètes au profis des journées portes-ouvertes…), mettre trop de fond de tein, se coiffer avec une pince en plastique de manière à générer une bosse capillaire sur son crâne, prendre des photos d’elles (avec ses « amis ») avec son blackberry, utiliser « wesh » le plus souvent possible ou le mot « meuf » quand elle parle à ses amies, faire sa suce-boulle avec son voisin lors d’un interro, se faire tripoter par le plus grand nombre de mains inconnues, embrasser une fille et prendre une photo d’elles… Mais la consécration de la Biatch tient en un mot : le dépucelage, c’est une grande période dans la vie de la Biatch en herbe… C’est le moment qui la fait devenir gourou de la pute attitude !!!

 Je souhaite donc bonne chance à toutes les Biatch en devenir qui souhaite pouvoir elles aussi annoncer fièrement :  « non mais je suis pas une tepu » ou « merde, j’ai plus de fond tein »…. ;)

P.

Chers gens, en raison de plusieurs raisons parfois valables parfois non, aujourd'hui c'est relâche. Comme euh... dimanche et lundi.

Juste un mot, peut être une preview d'un article à suivre : On l'a eu !